"Ils m’attaquent encore. Parce qu’ils n’acceptent pas que je sois Ibrahimovic. Si un autre joueur faisait les mêmes erreurs que moi, ils le défendraient.", a jugé 'Ibra'.
"Quand c’est moi, ils ne me défendent pas. Mais ça me va, c’est ce qui m’a rendu plus fort.", a-t-il poursuivi.
"Je te parle de racisme là. C’est une histoire de racisme. Je ne dis pas que c’est du racisme affirmé mais du racisme latent. (...) Parce que je ne m’appelle pas Andersson ou Svensson. Si c’était le cas, crois-moi, ils me défendraient même si… même si je braquais une banque.", a-t-il finalement tranché.
Une situation dommageable pour un joueur qui a tant apporté à sa sélection, ayant inscrit 62 buts sous les couleurs de la Suède.