"Merci à Séville, à ses habitants, sa mentalité, son amour pour le football. Je n'oublierai jamais votre soutien, merci. Les dirigeants n'ont pas été bons sur une chose à la fin de la négociation. C'est honteux, mais bon c'est le football", a publié le défenseur français sur ses réseaux sociaux.
Face à la confusion des supporters sévillans, le quotidien 'L'Équipe' a fait part du facteur qui aurait pu mener Rami à critiquer les dirigeants. Le média français affirme que Séville aurait forcé Rami à renoncer à une clause de son contrat, qui lui aurait valu 10% du montant de son transfert, si elle avvait été respecté.